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Quel est le matelas idéal ?


Aujourd’hui, il est prouvé que la qualité de sommeil des Français s’est considérablement dégradée au fil de ces dernières années. Pourtant, il est clair que les fabricants de matelas produisent des modèles toujours plus performants en termes de confort. Nos nuits dépendraient de nos choix concernant notre literie. Voici quelques éléments à prendre en compte avant d’investir dans la vôtre.

Choisir la bonne matière

Les différents modèles de matelas utilisent une grande diversité de matériaux. Ceux en mousse sont très confortables, mais ils peuvent s’affaisser sous le poids d’une personne à la longue. Le latex est très résistant et présente l’avantage d’être hypoallergéniques. Ceux à mémoire de forme ne conviennent pas aux personnes qui ont tendance à avoir trop chaud la nuit. Les matelas à ressorts sont décrits comme étant les meilleurs pour leurs capacités respirantes. Pour les écolos, il existe aussi ceux fabriqués à partir de fibres naturelles.

Les mousses à mémoire de forme sont elles indispensables ?

Depuis quelque temps déjà, les fabricants nous vantent les matelas à mémoire de forme. Constitués d’une mousse spéciale, ils s’adaptent complètement à votre silhouette et vous gardent bien lovés dans votre position de coucher. Néanmoins, certains les trouvent trop fermes ou pensent qu’ils ne s’adaptent pas à ceux qui changent souvent de position la nuit. Une chose est sûre, c’est que la mousse dont ils sont constitués doit être protégée de l’humidité et de la transpiration pour préserver leur longévité.

Définir la résistance

Préférez-vous dormir sur un matelas ferme ou souple ? En réalité, c’est autant une question de préférence que de morphologie. On choisira un maintien plus dur pour ceux qui sont grands ou qui dépassent un certain poids et à l’inverse un modèle plus souple pour les petites personnes ou celles qui sont assez peu corpulentes. Ce qui importe en réalité, c’est que les suspensions soient adaptées et surtout dissociées pour les matelas de deux places afin que les mouvements de l’un ne gênent pas le sommeil de l’autre.


10 novembre 2017
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