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Chauffeur VTC : tour d’horizon sur ce métier


Rêvez-vous de devenir un chauffeur de VTC ? Le cas échéant, les informations contenues dans cet article vous seront utiles. Les lignes suivantes vous expliquent, en effet, les détails importants sur ce métier.

Quelques mots sur le chauffeur VTC

Le chauffeur VTC est un véritable professionnel qui a pour mission principale de transporter le client d’un endroit à un autre, en fonction des besoins du client. Son travail ressemble un peu à celui-ci d’un conducteur de taxi, sauf qu’il ne prend des passagers que sur réservation. Il peut travailler en tant que salarié au sein d’une entreprise spécialisée ou bien comme indépendant. Pour le second cas, l’expert a l’obligation d’avoir un véhicule haut de gamme de 1,70 m de large et 4,50 m de long au minimum. La puissance de cette voiture comportant entre 4 à 9 places doit être supérieure ou égale à 84 kW.

Comment devenir chauffeur VTC ?

Pour devenir expert dans le secteur, vous devez remplir plusieurs critères. Outre la détention d’un permis B d’au moins 3 ans, il vous faut une attestation validant votre aptitude physique. La réussite à l’examen de chauffeur VTC et l’expérience probante en tant que conducteur sont également indispensables. Surtout, vous devez avoir un casier judiciaire vide et vous inscrire au registre de VTC. Si vous remplissez ces conditions, vous pouvez faire une demande de carte professionnelle auprès du préfet. La durée d’obtention de ce document s’élève généralement à 3 mois.

Les qualités requises pour devenir chauffeur VTC

Le chauffeur VTC doit garantir la sécurité du passager tout au long du trajet. C’est pourquoi le respect des règles de la circulation est primordial. Par ailleurs, une notion en mécaniques ainsi qu’une maîtrise parfaite des itinéraires sur la zone d’intervention sont incontournables. Ce spécialiste, doté d’un excellent sens de la communication, ne doit ni allumer la radio, ni discuter avec le passager, sauf si ce dernier le demande. Idem, les conversations téléphoniques au volant ne sont pas acceptables.


11 juin 2019
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